Faire une place à la logistique
Les grandes métropoles voient disparaître leurs fonciers à vocation économique, peu rentables (logistique, locaux d’activités, artisanats), au profit de zones résidentielles ou tertiaires.
Ces activités vont s‘installer plus loin, consommant des terres agricoles ou naturelles et contribuant à l’augmentation du trafic routier.
Si la prise de conscience est bien réelle, ramener les activités en « ville » n’est pas évident.