"Le BRS doit nous permettre de remettre les ménages en mouvement"
Directeur de l'EPFL de Haute-Savoie et de la Foncière de Haute-Savoie, Philippe Vansteenkiste témoigne de l'effet bénéfique du BRS dans sa région. Interview.
Directeur de l'EPFL de Haute-Savoie et de la Foncière de Haute-Savoie, Philippe Vansteenkiste témoigne de l'effet bénéfique du BRS dans sa région. Interview.
ADEQUATION participe depuis 2019 aux travaux du Laboratoire d'initiatives foncières et territoriales innovantes, alias LIFTI. Plusieurs de ses collaborateurs s’investissent en continu dans des groupes de travail visant à faciliter l’utilisation de l’open data du foncier. Damien Quermonne, Directeur qualité des données, est l’un d’eux.
ADEQUATION ambitionne de lancer, en décembre 2021, une base de données permettant un suivi "dynamique" de la production de logements intermédiaires et sociaux en maîtrise d’ouvrage directe ou en Vefa, et de l’avancée des projets, du permis de construire à la mise en service.
Un outil qui ne se veut pas "concurrent" de la statistique publique, mais qui vient "combler les vides" laissés par certaines bases de données.
L’ouverture des données foncières en 2019 devait marquer l’entrée dans l’ère de l’open data. Un an et demi plus tard, force est de constater que le résultat n’est pas (encore) à la hauteur des attentes des parties prenantes.
Entre réticences et manque de compréhension des enjeux, l’objectif initial nécessite un nouveau coup d’accélérateur.
Dans les logements sociaux, le taux de rotation chute. A cela s’ajoute un déficit de constructions, tant dans le parc social que dans le parc privé. La situation de l’Île-de-France est préoccupante.
Dans Le Monde du 21 décembre 2020, Isabelle Rey-Lefebvre donne la parole à Laurent Escobar.
Sur un marché resté vigoureux grâce à des taux de prêts historiquement bas, « l’appel du vert », sinon de la campagne, se traduit par un intérêt grandissant pour les maisons.
Découvrez un extrait de l'interview de Laurent Escobar dans l'article d'Isabelle Rey-Lefebvre paru dans Le Monde le 4 janvier dernier.
Les grandes métropoles voient disparaître leurs fonciers à vocation économique, peu rentables (logistique, locaux d’activités, artisanats), au profit de zones résidentielles ou tertiaires.
Ces activités vont s‘installer plus loin, consommant des terres agricoles ou naturelles et contribuant à l’augmentation du trafic routier.
Si la prise de conscience est bien réelle, ramener les activités en « ville » n’est pas évident.
Le bail réel solidaire, contrat notarié, ouvre de nouvelles perspectives aux ménages à revenu modeste.
Explications de Frédéric Roussel, notaire honoraire, directeur général de l’Association notariale de conseil et administrateur de l’OFSML.
Dans un article à lire dans Cadre de Ville, Rémi Cambau, fondateur et rédacteur en chef du site de presse en ligne, relaye nos analyses.
Nouveaux équilibres entre ventes en bloc et ventes au détail, émergence de segments inédits, percée des villes moyennes et extrême tension du marché dans les métropoles du Grand Paris et du Grand Lyon : Rémi Cambau et Laurent Escobar, directeur associé d’ADEQUATION, tentent d’apporter un peu de visibilité dans ce contexte si singulier.
Bruno Mirande est diplômé de 3e cycle de l'Institut Français d'Urbanisme et co-gérant depuis mai 2010 de la société GTC - Guy Taïeb Conseil, cabinet d'études sans frontières territoriales.