En toute chose, il faut de la mesure.
Au début des années 2010, il était absolument nécessaire et vertueux de métropoliser la production de logements, notamment en Île-de-France.
Mais l’excès de métropolisation (beaucoup construire, trop vite), a entrainé un rythme de production immobilière trop intensif et une surconsommation du foncier immédiatement disponible.
Les conséquences sont nettes :
- d’une part, les marchés sont en « surchauffe », le foncier se raréfie et la tension sur les prix s’intensifie ;
- d’autre part, les territoires non-métropolisés sont freinés dans leur développement car le soutien y est insuffisant.
Il est encore temps de rééquilibrer les choses et ainsi contribuer à un développement plus harmonieux de tous les territoires.
© Alistair Macrobert
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