L’immobilier amorce un lent rééquilibrage des grandes villes vers les périphéries et les villes moyennes

Sur un marché resté vigoureux grâce à des taux de prêts historiquement bas, « l’appel du vert », sinon de la campagne, se traduit par un intérêt grandissant pour les maisons.

Découvrez un extrait de l'interview de Laurent Escobar dans l'article d'Isabelle Rey-Lefebvre paru dans Le Monde le 4 janvier dernier.

Équipe ADEQUATION

Publié le 27/01/2021

 
Illustration - Article Le Monde 04/01 - 1/4
Article Le Monde 04/01 - 1/4
Illustration - Article Le Monde 04/01 - 2/4
Article Le Monde 04/01 - 2/4
Illustration - Article Le Monde 04/01 - 3/4
Article Le Monde 04/01 - 3/4
Illustration - Article Le Monde 04/01 - 4/4
Article Le Monde 04/01 - 4/4

A se focaliser uniquement sur l’Île-de-France et les grandes métropoles, on aurait presque oublié de considérer les marchés non-métropolisés.

Et pourtant, ils ont une réalité solide et ancrée. Cette année comme les précédentes, ces territoires ont montré une forte activité.

En 2019, ils représentaient déjà plus de 37 000 ventes au détail de logements neufs (29 % des ventes).

En 2020, ils brillent par contraste suite aux baisses enregistrées en Île-de-France et dans les grandes métropoles, et leur part de marché atteint 36 %.


© Josh Wilburne - Unsplash

Réagissez